Gyroplaner

Le gyroplane, également connu sous le nom d'autogire, est un aéronef à voilure tournante qui diffère des aéronefs conventionnels par la façon dont il génère la portance. Alors que les avions ont des ailes fixes, les autogires utilisent un rotor à deux pales qui tourne pour créer la portance nécessaire.

Le gyroplan peut être considéré comme un hybride entre l'avion et l'hélicoptère. Contrairement à l'avion, l'autogire utilise une hélice pour la propulsion, mais au lieu d'avoir des ailes fixes, il a des ailes rotatives. En revanche, comme l'hélicoptère, l'autogire possède des ailes rotatives, mais son rotor n'est pas relié au moteur et tourne librement en "autorotation" sous l'effet de l'air, générant ainsi la force de portance. En revanche, dans un hélicoptère, la propulsion et la portance dépendent toutes deux du rotor, qui est entraîné par un moteur et cesse de générer de la portance en cas de décrochage.

Pour qu'un gyroplane puisse décoller, il est nécessaire de pré-lancer le rotor supérieur, c'est-à-dire de le faire tourner avant le décollage. Pour ce faire, les ailes rotatives sont mises en mouvement à partir d'un nombre minimum de tours. Une fois ce nombre de tours atteint, le rotor est maintenu en rotation en "autorotation" par l'action du vent relatif, sans qu'une force extérieure continue soit nécessaire.

Dans les avions, les ailes génèrent de la portance mais nécessitent une vitesse minimale pour rester en l'air, ce qui signifie que le pilote doit être attentif à la vitesse pour éviter la perte de portance.

En revanche, les autogires volent en autorotation, ce qui signifie qu'ils ne décrochent jamais. Il est même possible pour le pilote de voler à l'arrêt, c'est-à-dire sans se déplacer horizontalement, pendant la descente.

Les ailes des avions et des autogires suivent les mêmes principes de fonctionnement, mais sur les autogires, la capacité à maintenir la portance en autorotation évite le risque de perte de portance que l'on trouve sur les avions conventionnels.

Donnez-moi un seul avantage qu'un avion ultraléger à voilure fixe a sur le 10-Eclipse ?

L'avion 10-ECLIPSE présente de nombreux avantages par rapport à l'ULM. Sa sécurité accrue par l'absence de décrochage, la possibilité d'atterrir n'importe où, la facilité de vol, la stabilité, la visibilité et le plaisir de voler à l'altitude et à la vitesse souhaitées font que l'ULM ne peut pas rivaliser avec lui.

Le gyroplane, également connu sous le nom de gyrocoptère, est un aéronef à voilure tournante qui diffère des aéronefs conventionnels par la façon dont il génère la portance. Alors que les avions ont des ailes fixes, les autogires utilisent un rotor à deux pales qui tourne pour créer la portance nécessaire.

S'il est vrai qu'il y aura toujours des avions plus rapides, la vitesse n'est pas le facteur le plus important dans l'aviation ultralégère, qui consiste à profiter de l'expérience de vol plutôt que d'aller trop vite. Bien que les avions à volets négatifs puissent voler plus vite, les inconvénients associés, tels que la nécessité de pistes longues et bien entretenues, la difficulté de voler pour les pilotes expérimentés et la nécessité de maintenir des vitesses minimales élevées pour éviter de décrocher ou de battre des ailes, n'en valent pas la peine.

Pour qu'un autogire puisse décoller, il est nécessaire de pré-lancer le rotor supérieur, c'est-à-dire de le faire tourner avant le décollage. Pour ce faire, les ailes rotatives sont mises en mouvement à partir d'un nombre minimum de tours. Une fois ce nombre de tours atteint, le rotor est maintenu en rotation en " autorotation " par l'action du vent relatif, sans avoir besoin d'une force extérieure continue.

Notre philosophie est de prendre du plaisir à voler, d'apprécier le plaisir de voler et de ne pas le considérer comme une course. Lors de vos voyages, c'est le voyage lui-même qui est amusant. L'ULM vous permet de profiter du calme et de la tranquillité, d'atterrir et de décoller dans des espaces restreints, d'avoir une visibilité spectaculaire, de faire du tourisme aérien et même de voler avec le toit baissé si vous le souhaitez, le tout à une vitesse de croisière de 90-100 nœuds.